Le livre sur… l’APAC 2020!

Chaque année, la ville de Nancy organise le premier salon de la rentrée littéraire, un énorme événement auquel édités et auto-édités sont conviés.

Mais cette année, un virus a décidé de troubler l’organisation de ce salon.

En 2020, les rassemblements étant devenus dangereux pour notre santé, la ville de Nancy a décidé d’organiser le salon différemment, en dispersant les auteurs dans toute la ville. Finis les habituels chapiteaux sur la Place Carrière !  Logo

C’est pour cela que cette année, nous, les auteurs auto-édités de l’APAC (Association Plumes À Connaître), avons décidé de faire venir le chapiteau des auteurs de l’APAC initialement inscrits sous la banderole de leur association à Nancy chez vous, par l’intermédiaire de ce site.

Et pour faire encore plus fort, chaque auteur possède cette année son propre chapiteau virtuel…                                                                                                                                                               Vous pourrez ainsi découvrir les auteurs concernés et ayant participé à cette folle aventure de l’année 2020, ainsi que leurs livres nouvellement publiés sur le site. :

www.le-livre-sur-l-apac.fr

Pour commencer, afin de découvrir ces auteurs ainsi que leurs œuvres, rendez-vous sur la page des chapiteaux virtuels et visionnez les interviews mis en ligne…

Découvrez…partagez autour de vous et dans vos divers réseaux. .. les auteurs par avance vous remercient de leur ouvrir de nouvelles portes médiatiques en cet automne littéraire !

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Appel à la rêverie de Jean-Louis DESFRAY…

Un bien beau texte de Jean-Louis DESFRAY… qui méritait à être offert en ces pages à l’orée de cet été plus vraiment confiné…sans être totalement déconfiné…appel au rêve comme une envie d’évasion..qu’en pensez-vous ?

ICI OU AILLEURS …

Il est des vies mers étales, puis des vies comme des vagues qui montent et descendent, flux et reflux, longues pulsions du temps, dessinant lentement de nouvelles frontières aux lignes incertaines. De jolies rides à peine marquées, pas une semblable, mais toutes porteuses de vents, de courants, de temps et d’épreuves traversées.

Incessant ballet, murmures et clapotis, doux à l’oreille, de ces vagues en cortège…

Vagues vertiges … Vagues souvenirs … Vagues silhouettes qui vous emportent doucement, sans chercher le sommeil, attendant l’aube d’un nouveau matin sur la pointe irisée d’une autre vague au loin…

Plus tard un soleil naissant, bientôt éblouissant puis en fin de journée un astre cuivré qui doucement s’estompe et disparait dans le vague horizon de ces longues parenthèses.

Et puis la nuit encore, à la mer adoubée, toute en majesté, de ses perles de rosées amèrement salées… 

Ici …

Je suis assis ici, devine-moi, là à côté de toi … en ombre chinoise, doux rêveur…

Pierrot de la lune, à la lisière de ces deux mondes de terre et d’eau, assis là où le sable de pierres roulées en pépites fracassées se laisse prendre et façonné à loisir…

Je suis juste ici ou là-bas, à la frontière de cette terre, bravant encore les lois de l’équilibre, sans plus d’assurance qu’auparavant mais serrant entre mes mains, ce qui aujourd’hui pour moi a plus de sens qu’or ou argent …

Une poignée de ce sable mouillé comme argile glaisé qui te permet, quelque soit l’heure à l’horloge du temps, de créer encore “ton monde rêvé”…

Le créer ou le recréer … sans répit, avec toujours autant d’envie…

Ici ou là-bas, cette nuit, sur une plage toute proche ou à l’autre extrémité du globe….

Se fabriquer encore un nouveau rêve, le dernier … Jusqu’au prochain …

Celui qui te portera encore plus loin, le temps d’un sourire, le temps d’une danse…

Reste-là. Assieds-toi …

Regarde le naître, ce nouveau rêve, à lumière rasante puis passer dans tes yeux et vivre encore lorsque la vague se retire et roule vers le large.

Laisse le glisser entre tes doigts sans regret ni amertume, il est déjà l’un de tes plus beaux souvenirs.

Je lève la tête vers ce ciel étoilé, après tant d’années, mon Monde est toujours aussi beau, celui que je me suis créé, le seul qui en vaille la peine, celui qui donne encore, à mon âge,

ce regard émerveillé sur ceux que je veux regarder, tentant encore aujourd’hui de me détourner de trop de vanités. …

Nous ne savons jamais tout mais apprenons de la vie chaque jour…

Et j’ai tellement encore à apprendre de chacun d’entre vous, de chacune de nos vies traversées, de nos destins croisés et de nos regards un moment arrêtés.

Qu’elle est belle la vie , à vouloir encore se jeter tête la première, briser ce miroir pour aller voir derrière, boire la tasse encore et encore … pour le seul bonheur d’exister.

Nous cherchons tous notre inaccessible étoile, mais elle brille pour chacun d’une manière différente et souvent une lumière qui vacille éclaire plus fort qu’un phare dans la tempête.

Nous apprenons de la vie ce que nous souhaitons en retenir à condition de garder les yeux grand-ouverts, de ne pas les baisser trop longtemps de peur de ne plus voir l’essentiel,

les jours de grand soleil.

Il est beau par endroits le chemin, celui laissé derrière, qui nous a tant appris et celui encore à venir, qui nous restera toujours à découvrir…

Un nouveau chemin encore à tracer …

Même lorsque je n’en aurai plus la force, c’est du regard que je le porterai plus loin,

y inscrivant encore des sentiers ombragés, des chemins de traverse bordés d’aubépines, sans oublier les délicieux vertiges de piquantes épingles à cheveux …

Parce qu’il y a toujours un demain, un après-demain … puis un nouveau matin…

De nouveaux volets à faire claquer, de grandes voiles à déployer, de mats de misère à oublier …

Elle est belle la vie, mes Amis, par votre présence, nos sourires échangés, nos rires partagés, nos états d’âme et parfois nos vagues à l’âme confiés,

Belles nos vies, semblables à un puzzle aux pièces sans cesse ajoutées …

Elle est belle, mes enfants, à l’aube de vos vies d’adultes naissantes …

Prenez entre vos mains ce sable mouillé, cette argile à sculpter selon vos envies …

Vivez, vivez …. Comme si l’Histoire devait se terminer à l’aube du jour qui va naître.

Vivez, vivez, chacun de vos rêves, prenez la vie à bras le corps…

Tentez-le bien, faites de l’assez bien, on peut s’en contenter du moment que l’on a essayé ! Puis du mieux à nouveau tentez…

Vous irradiez maintenant parce que le le Bonheur est contagieux !

C’est bon de sentir ses poumons parfois prêts à exploser …

Le bruit, la fureur mais aussi le silence ….

Silence pour moi porteur de tant de bonheurs vécus, de chemins en solitaire parcourus, selon mon humeur… Je suis un solitaire qui se perd au milieu de la foule, qui s’attarde parfois parce qu’une respiration à l’unisson apporte aussi sont lot d’émotions…

Mais … solitaire tout de même….

Silence d’une église ou bien encore de la nuit, lorsque maître du temps, ton regard se promène d’un morceau de ciel étoilé à un grand champ d’herbes couchées.

Tu fabriques le décor et te promènes à loisir, chacun de tes pas inventant le suivant …

Ainsi, après les épines du quotidien, tu te crées un endroit de silence, seul connu de toi

où tu peux à loisir lécher tes blessures et parfois, laisser plus longtemps cicatriser ……

Avant de reprendre la route,

Parce que le silence ne doit pas tout accaparer ou la nuit tout envelopper …

Nous avons chacun nos vies, uniques, reflet de ce que nous sommes, à respecter donc, sous condition qu’elles n’abiment pas trop alentour…

Pour ma part, les passages cloutés, connais pas … Enfant gâté, jamais contrarié, j’ai toujours conduit ma vie à l’envie, je remonte le courant, je ne traverse pas à gué, j’attends que l’eau monte, alors en danger, instinct de survie encore présent, je nage à m’en épuiser pour atteindre les rives incertaines d’une nouvelle contrée….

Nous avons chacun nos rêves, nos attentes, nos envies, nous pouvons apporter de nous le meilleur et hélas blesser parfois …

Pourtant, gardons présent qu’ il y a en chacun de nous une pépite à préserver ou encore à révéler.

Faisons ensemble bel usage de cette vie si précieuse .

Je vous aime comme j’aime la vie … sans modération… avec exaltation.

Jean-Louis DESFRAY

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Des auteurs et leurs livres… un site à la rencontre du public!

Retrouvez ici les enregistrements de  Rencontres en ligne Un endroit où aller.

Heures magiques de paroles échangées entre libraires et auteurs, entre blogueurs (parfois journalistes, parfois eux-mêmes auteurs) et écrivains. Ce sont des instantanés dont vous pardonnerez la qualité inférieure à celle d’une émission de télévision ; parfois l’Internet nous lâche, le son se dissout, l’image est plus floue. La bande passante est faible… Tout un programme intrinsèque ! Cela reflète l’imperfection, “l’imperfiction” de nos vies. La parole reste entière ; les auteurs parlent souvent pour la première fois de leur livre à un public qu’ils ne voient pas, qu’ils n’entendent pas et c’est nouveau pour eux. C’est le prolongement de la lecture, cet acte solitaire où l’auteur s’efface pour laisser entre vos mains son livre. Mais tous les écrivains de ces rencontres sont ravis de vous accueillir un peu chez eux, dans leur univers d’écriture et de lecture…

https://www.1endroitoualler.com/videos 

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Julien CORDIER / Alyson

Julien CORDIER est né en 1984 à Vesoul. Passionné de cinéma depuis sa tendre enfance, son premier choix de carrière est de devenir scénariste/réalisateur. Cependant, le destin en décide autrement lorsque l’école qu’il tente d’intégrer en 2003 refuse sa candidature, l’obligeant ainsi à se rabattre sur une passion secondaire : l’électronique et l’informatique.

En 2004, dans sa chambre d’étudiant, il décide de commencer l’écriture d’un roman et c’est un rêve surprenant qu’il vient de faire, qui lui inspire l’histoire d’Alyson.

Accaparé par les études, il met quatre ans à écrire le livre. Mais au terme de cette première expérience, en le relisant, il réalise finalement que le résultat n’est pas celui qu’il espérait. Il se donne alors pour objectif de corriger l’œuvre sans se donner de contraintes de temps. Mais, décrochant son Master en informatique embarquée en 2008, il est très vite happé par le rythme de la vie active et devient développeur logiciel à plein temps en Alsace, puis en Lorraine.

En 2018, Julien entame soudain une prise de conscience le poussant à s’interroger sur le véritable sens de son existence. C’est ainsi qu’il décide enfin de reprendre de zéro l’écriture d’Alyson, ce rêve mis de côté depuis 10 ans. Ce n’est qu’en 2020 qu’il publie le livre avec l’espoir de redonner envie à ses lecteurs de croire en leurs rêves.

Site de Julien CORDIER:

http://www.julien-cordier.com

Le livre est disponible en ebook et version papier sur toutes les plateformes de vente en ligne et sur commande en librairie. Liens vers les sites de vente:

https://www.bod.fr/librairie/alyson-julien-cordier-9782322220564

https://www.amazon.fr/Alyson-Julien-Cordier-ebook/dp/B088QXWDL3

https://livre.fnac.com/a14812558/Julien-Cordier-Alyson

https://www.kobo.com/fr/fr/ebook/alyson

Lien vers la bande-annonce du livre:

https://www.youtube.com/watch?v=rOgNWMWIUHU

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Concours Poésie et textes courts

7ème Grand Concours International

Le concours est organisé par l’association “AMAVICA” en partenariat avec “Les mille-Poètes en Méditerranée”. Il s’adresse à toute personne adulte d’expression française. cette année, le thème choisi est: “L’automne”.

Il est ouvert du 15 janvier au 15 juillet 2020. La remise des prix se déroulera à Capestang le samedi 10 octobre 2020 à 18 heures. Toutes les formes sont acceptées: poésie classique, poésie néoclassique, vers libres, poésie libérée, haïku, tanka, prose poétique, acrostiche, paroles de chanson, slam, conte court, petite nouvelle.

La forme retenue devra obligatoirement être indiquée sur chaque exemplaire en haut et à gauche de la page. En ce qui concerne les poèmes, attention à vérifier auparavant si votre texte est bien conforme aux règles de versification française.

Pour en savoir davantage sur ce concours, son règlement et la possibilité de concourir en ligne, il faut vous rendre sur le site: 

https://amavica.info/concours-de-poesie-et-de-textes-courts-2020

Ou demander le règlement par courrier, en joignant une enveloppe timbrée, à:

AMAVICA, 13 rue de château, 34310 CAPESTANG

 

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Résultats de concours d’écriture… des “apaciens” récompensés pour leur talent!

Jean-Jacques CHIRON nous transmet des résultats de concours gratifiant, dans leurs palmarès divers, nombre de nos adhérents… Nous le remercions de cette information et en assurons la publication sur le Blog pour diffusion! 

Félicitations aux heureux(ses) lauréat(e)s… et merci particulièrement à Jean-Jacques pour son poème “Sainte-Colombe” joint et primé!

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UN COMITE DE LECTURE A L’APAC: POURQUOI?

La question semble saugrenue et pourtant… Pourquoi si peu d’adhérents profitent-ils de ce service gratuit ?

Les créateurs de l’APAC, il y a déjà près de 30 ans, avaient pour premier objectif, par souci de solidarité, de mettre en garde et d’aider leurs collègues et amis écrivains novices qui, comme eux, s’étaient égarés (ou s’apprêtaient à le faire) dans le dédale tortueux du monde de l’édition et s’y étaient le plus souvent fait « arnaquer ».   Logo

En effet, on le sait, hier comme aujourd’hui, un auteur sans nom célèbre, sans notoriété, sans réseau influent, quelles que soient par ailleurs ses qualités littéraires, n’a qu’une chance infime d’être publié «  à compte d’éditeur », la voie royale mais très étroite qui permet d’obtenir son livre sans débourser un euro et de le voir sérieusement diffusé.

La publication «  à compte d’auteur », où il ne s’agit en fait, ni plus, ni moins, que d’acheter son livre à un éditeur qui ne prend aucun risque financier, peut sembler attractive à l’auteur un peu naïf, désireux et pressé de voir le nom d’une maison d’édition figurer sur la jaquette de son ouvrage quel que soit par ailleurs le prix à payer. Dans ce cas, l’arnaque évidente à laquelle nombreux se sont fait (et se font encore) piéger réside dans un tirage, à un prix prohibitif, parfois carrément ruineux, d’une quantité excessive d’ouvrages que l’auteur ne sera pas en mesure d’écouler seul (l’éditeur, déjà payé, n’ayant guère de motivation à y participer).

Il reste alors l’auto-édition, où l’auteur renonce certes à voir figurer un nom d’éditeur sur son livre mais où il demeure indépendant et libre de l’impression et de la diffusion de son ouvrage.

Il n’a pas échappé aux créateurs de l’APAC que le risque majeur de l’auto-édition (qu’ils préconisaient de préférence à un compte d’auteur douteux, dans le cas d’un impossible compte d’éditeur) était de voir l’écrivain publier un ouvrage qui n’aurait été ni relu, ni corrigé, ni évalué, comme il l’est normalement par un éditeur avant parution. Avec le risque majeur de produire un livre médiocre et bâclé..

C’est pour cette raison qu’ils ont proposé à leurs adhérents, outre les conseils solidaires permettant d’éviter toute désillusion, un COMITE DE LECTURE : celui qui fonctionne depuis 30 ans et qui demeure l’une des branches essentielles de l’activité de notre association. 

Il n’est pas inutile de repréciser, ici, les principes qui régissent le fonctionnement du Comité de Lecture de l’APAC : Tout adhérent de l’association peut bénéficier de ses services qui sont gratuits hors frais postaux d’envoi des tapuscrits. Ce tapuscrit, roman ou poésie, est corrigé, analysé, évalué, anonymement pour éviter toute complaisance, par trois « lecteurs »  dont les avis, remarques et suggestions sont résumés par un synthétiseur qui y ajoute son propre regard. Continuer la lecture

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Le CONCOURS SPAF Lorraine GRAND EST est ouvert!

Concours SPAF lorraine Grand Est

Veuillez trouver en lien le règlement et le bulletin d’identification du concours d’écriture de la SPAF Lorraine GRAND EST, concours ouvert jusqu’à mi-mai, et que nous transmet Sylvie WEISSE, fidèle adhérente APAC et déléguée régionale de la SPAF Lorraine.

Peut-être que cette période de confinement sera propice à l’inspiration des uns et des autres ? Qui sait … à vos plumes donc et bonne chance!

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Un printemps des poètes intimiste mais de haute qualité en ce 7 mars à Metz…

« La poésie était au rendez-vous cet après-midi : moments très agréables… Poèmes d’amour, poèmes sur l’enfance, la guerre, l’enfermement, se sont côtoyés sans interruption pendant une heure trente. Sourires et émotions sur les visages des auditeurs très attentifs. Une bien jolie bulle de douceur et d’échanges complices parfaitement enchaînés… » 

Ces premières impressions, livrées à chaud par Joëlle, l’une des participantes particulièrement intéressée au Printemps des Poètes organisé par l’A.P.A.C., le 7 mars dernier, au restaurant « Chez la Marie » de Metz, suffisent à en résumer parfaitement l’ambiance très agréable et conviviale.

Nous n’étions certes qu’une douzaine mais il n’est pas vain de répéter une fois de plus que la grande qualité de ce qui nous a été proposé par les participants a largement contribué à faire oublier leur quantité restreinte. Les absents ont vraiment eu tort !

Toutes les personnes présentes, toutes férues de poésie il faut le dire, assises en un cercle intime et chaleureux, ont partagé autour du thème très vaste du « courage », à l’honneur cette année, mais aussi évidemment sur celui, éternel et indémodable, de l’amour, ainsi que sur une très grande diversité d’autres sujets. Sur la scène grande ouverte se sont succédé avec bonheur, poèmes inédits lus par leurs auteurs eux-mêmes, poèmes plus connus réinterprétés avec talent, poèmes parfois très courts mais souvent remarquables, parfois beaucoup plus longs touchant presque à l’épopée… 

Toutes et tous ont rendu un superbe hommage, vibrant, intense et émouvant à la Poésie qu’elle soit cri, plainte, ou murmure, signal d’alarme ou action de grâce, battement de cœur ou frisson de peau, recherche d’éternité dans la fugacité de l’instant ou émoi sensuel, souffle ou halètement… Un hommage à la Vie tout simplement. Merci à elles, merci à eux, pour leur présence précieuse, généreuse et, ô combien, talentueuse, génératrice d’un grand moment de bonheur poétique.

Et pour quelques-uns la soirée s’est délicieusement et amicalement prolongée devant un très agréable buffet dînatoire. Bernard APPEL

 

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Gaston-Paul EFFA parle de l’APAC dans l’hebdomadaire “La Semaine”

Nous ne remercierons jamais assez Gaston-Paul EFFA, parrain du Livre en hiver 2020 avec Isabelle LAURENT, d’avoir éprouvé le besoin spontané de faire un article citant notre salon pour “La Semaine”, hebdomadaire très lu sur Metz!

Avec son accord, je vous l’adresse ci-après. Bonne lecture!  G.K.

 

DE PARIS À METZ

EN MOSELLE,          

LE LIVRE SE LIVRE

Salon du Livre annulé à Paris pour cause de virus n’ayant rien à voir avec celui de la lecture ! Une actualité qui nous fait penser forcément au prochain Livre à Metz du mois d’avril mais qui permet aussi de faire un petit retour sur le foisonnement qui existe dans ce domaine en Moselle et qui s’était notamment traduit, en janvier dernier, par la huitième édition du Salon du Livre d’hiver à l’hôtel de ville de Metz. Un rendez-vous organisé par l’APAC (Association Plumes à connaître, présidée par Geneviève Kormann). Une fête qui, faut-il le rappeler s’ajoute au Salon du Livre féminin d’Hagondange, au salon du livre jeunesse de Montigny-lès-Metz, ou à celui du livre d’Histoire à Woippy pour ne parler que d’eux. En rassemblant en janvier autour du Livre cinquante auteurs, dont des auteurs auto-édités et beaucoup d’éditeurs locaux, ce Salon du Livre d’hiver avait fait la part belle aux livres de tous horizons. Geneviève Kormann mise sur la découverte patiente, attentive, des plumes locales souvent méconnues. Que ce soit la littérature générale avec Danièle Vogler, la littérature de jeunesse avec Aliette Somot, la bande dessinée avec Sébastien Ortiz ou l’Histoire avec Claude Gérard, autant de voix qui invitent à célébrer la rencontre avec les lecteurs. Ce Salon du Livre est une incitation, une invite, bien à contre-courant, d’une époque obsédée par le tout-numérique et la dématérialisation. Bien réels étaient les échanges entre les lecteurs et les auteurs, la table ronde animée chaque année par le parrain ou la marraine de la manifestation. Si Don Quichotte lui-même lisait des livres, c’est qu’il avait tôt compris qu’ils transforment ceux qui les lisent. L’enthousiasme des lecteurs a une nouvelle fois montré que rien ne remplace l’odeur des livres, la respiration des pages, le bruissement de la plume au moment de la dédicace.

Gaston-Paul EFFA

(Article paru dans l’hebdomadaire La Semaine du 5/03/2020)

 

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