Les si jolis voeux de notre fidèle adhérente Sylvie WEISSE…

            Vœux 2021

La coutume des vœux peut sembler dérisoire                                                                              Après l’An deux mil vingt qui fut triste à pleurer.                                                                              Ce virus dont le rôle est de nous séparer                                                                            Transforme tout désir en promesse illusoire.

Je voudrais que chacun contre l’adversité,                                                                        Combatte toute peur, cultive l’Espérance,                                                                             Oppose à ce Malin sa ferme résistance,                                                                                  Rayonne intensément de douce humanité.

Que personne n’oublie, au creux de la tourmente,                                                                   L’aile du papillon influençant le vent,                                                                                              Le colibri pugnace et son appel fervent,                                                                                          Le réconfort donné par une main aimante.

Notre Histoire a connu de bien nombreux fléaux.                                                                         Au profond de la nuit, se prépare l’Aurore.                                                                                      A l’aune de l’amour que notre cœur arbore,                                                                                   Sa lueur se nourrit de tous nos idéaux.

BELLE ANNÉE 2021 à tous. 

Sylvie WEISSE

( Dans le troisième quatrain, il est fait allusion à l’effet papillon et à la légende du colibri)

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CONCOURS D’ECRITURE DE L’ENCRIER RENVERSE

33e concours francophone de L’encrier renversé

La revue L’encrier renversé, avec pour partenaires la Ville de Castres et le Crédit agricole Nord-Midi-Pyrénées, organise son 33e concours de nouvelles, ouvert à tous du 1er/1 au 15/5/2021 minuit. L’inscription est de 5 € (gratuite pour les mineurs et les participants de l’étranger et des outremers). Aucun thème imposé.                                                               Envoyer une nouvelle inédite de 15 pages max. (22 500 signes), en 4 exemplaires, au :

9, hameau En Priou, 81580 Cambounet-sur-Sor (FRANCE)                                               

Anonymat et quadruple lecture garantis, le jury final réunit les lauréats des éditions précédentes. Le 1er prix est de 1 000 €, le 2d de 300 €. Le prix Marie-Schembré (cumulable), de 200 €, récompensera un auteur de la Région Occitanie. Le prix Lycéens (cumulable), de 150 €, sera décerné à un auteur choisi par les lycéens. Le prix du Jeune espoir, de 100 €, sera attribué à un auteur de moins de 18 ans. Les meilleures œuvres paraîtront dans L’encrier renversé.

Règlement visible sur : encrierrenverse.canalblog.com

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CONCOURS DE POESIE 2021 DE LA SPAF – DELEGATION LORRAINE GRAND EST

Veuillez trouver ci-après les liens du règlement des joutes poétiques 2021 de la délégation Lorraine GRAND EST de la Société des Poètes et Artistes de France, ainsi que le bulletin d’identification.

A vos plumes et bonne chance!!

 

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ALBERT CAMUS, UN PHILOSOPHE POUR AUJOURD’HUI – Bernard APPEL –

A l’occasion de la pandémie, j’ai eu envie de relire « La Peste » d’Albert CAMUS, que j’engage d’ailleurs chacune et chacun à aller rechercher dans sa bibliothèque ou chez son libraire (quand il sera autorisé à rouvrir ses rayons), tant il nous parle intensément et lucidement de ce que nous traversons aujourd’hui. Et, à cette occasion, j’ai décidé de m’intéresser à nouveau de plus près à celui dont la pensée me semble être restée si précieuse pour éclairer notre monde actuel. Je me suis donc penché un peu plus dans le détail de sa philosophie, ravivant ainsi mes lointains souvenirs estudiantins. Je me permets de vous en proposer ci-dessous une courte synthèse qui n’a qu’une seule prétention : vous donner envie de faire comme moi et de venir ou revenir à la rencontre de ce penseur à mon avis essentiel.

Bernard APPEL le 26 novembre 2020

 Albert CAMUS est davantage connu du grand public comme romancier (« L’étranger » ; « La peste ») que comme philosophe. Il est pourtant l’auteur d’une œuvre philosophique importante qui a de très fortes résonnances à notre époque.

Camus est le philosophe de l’absurde : cette philosophie de « l’absurde » est principalement développée dans l’ouvrage « Le mythe de Sisyphe » que chacun connait : Sisyphe, un personnage de la mythologie, est condamné à hisser durant toute sa vie un rocher en haut d’une montagne très pointue; lorsqu’il parvient en haut, le rocher retombe et redescend à chaque fois ; ceci indéfiniment… Et Sisyphe recommence…et recommence à rouler son rocher vers le sommet…

Ce mythe c’est l’image de la destinée humaine et de l’aspect répétitif et machinal de nos existences ; la répétition se transforme en habitude ; c’est ce que l’on pourrait appeler aujourd’hui : « le métro, boulot, dodo ». En outre nous avons la conscience de la certitude de notre mort, de notre finitude, comme horizon inéluctable de notre existence. Se pose alors la question : « A quoi bon vivre ? » Tout cela engendre l’angoisse, l’écoeurement et la nausée (c’est d’ailleurs le titre d’un ouvrage de Jean-Paul Sartre qui fait les mêmes constats). Le monde tel qu’il est nous apparait hostile, irrationnel, déraisonnable, comme s’il n’avait pas été fait pour nous qui sentons en nous, au plus profond, un désir éperdu de clarté, de logique et d’éternité.

Camus parle d’un divorce entre le monde tel qu’il est et nous tels que nous sommes. C’est ce divorce qui est au cœur de « l’absurde ».

Pour fuir cette réalité inacceptable, il existe chez l’homme des attitudes plus ou moins conscientes de fuite ou d’évasion. La première, la plus radicale, serait le suicide puisqu’il supprime la conscience. Camus le rejette car il considère que c’est de la lâcheté. La seconde, ce sont toutes les expériences humaines situées hors du monde réel, tel qu’il est, et qui donneraient un sens à la vie avec, en particulier, les croyances religieuses comme un tremplin vers l’éternité. Camus considère que c’est tricher avec le réel.

Il refuse donc toutes ces évasions et décide que, le monde étant ce qu’il est, absurde à jamais, il faut vivre avec ce que l’on sait, dans une absolue lucidité, avec la conscience permanente de l’affrontement entre les aspirations de notre esprit et le monde tel qu’il est, sans espoir qu’il puisse changer mais aussi sans résignation. Pour y parvenir, Camus transforme la tentation du suicide (physique ou mental) lié à l’absurdité de notre destinée, par la révolte.

« L’homme révolté » : C’est le titre de l’ouvrage dans lequel Camus développe sa conception de la révolte. Cette révolte est pour lui la seule position philosophique cohérente : elle est la confrontation perpétuelle de l’homme à sa propre obscurité ; elle remet le monde en question à chaque seconde ; c’est un défi absolu qui mène à l’engagement dans ce monde tel qu’il est pour tenter d’en améliorer ce qui peut l’être.

En assumant l’absurdité du monde, il ne la subit plus et devient profondément libre ; libéré des habitudes, des préjugés, des routines, des croyances. Il vit dans une lucidité sans appel face au monde tel qu’il est, présent à ce monde ; il devient seul et totalement responsable de ses actes. Parmi ces actes il sait que certains servent l’humanité tandis que d’autres la desservent. Cette conscience l’engage dans l’humanisme et, en conséquence, dans tous les combats contre la pauvreté, les injustices, la violence et tout ce qui déshumanise l’homme.

Cette révolte entrainera Camus à s’engager au parti communiste durant quelques années. Mais il le quittera un peu plus tard en raison du goulag en Union Soviétique et de l’invasion de Budapest par l’armée soviétique en 1956 ; il fait toujours passer la morale avant la politique.

En effet, si Camus accepte que la révolte puisse devenir révolution c’est à la condition qu’elle ne soit pas violente et qu’elle n’adopte pas les pratiques qu’elle condamne. Camus refuse que la violence et le crime soient utilisés comme moyens d’action révolutionnaire légitimes au risque de ruiner le principe ultime au nom duquel l’homme s’est révolté. Il refuse tout autant les atrocités déshumanisantes du goulag que celles du nazisme.

C’est cette position, plaçant la morale au-dessus de la politique, qui l’isolera de ceux dont il a un temps accompagné la démarche dite « existentialiste », c’est-à-dire Sartre et tous ses affidés.

Camus v/s Sartre :

Venons-en à la relation Camus – Sartre.

Ce sont deux personnalités très différentes c’est le moins que l’on puisse dire !

Camus est un petit blanc d’Algérie, pauvre mais riche de l’amour silencieux de sa mère illettrée et du soleil de la Méditerranée. Il est boursier grâce à son instituteur Monsieur Germain, mais tuberculeux. IL ne sera ni normalien, ni agrégé. Il sait la misère d’où il vient et ne veut pas trahir les siens. Quand il se risque à la philosophie c’est modestement et sur la pointe des pieds.

Sartre c’est le fort en thème, le super crack, l’enfant-roi grandi dans l’amour admiratif de sa mère. Son parcours d’enfant gâté de la bourgeoisie est tout tracé : Normale sup et agrégation. Une intelligence presque effrayante qui forge des concepts à qui mieux mieux. Il ambitionne d’être Spinoza ou Stendhal et il y parvient presque.

Sartre et Camus se rencontrent en 1943 au moment où Camus s’installe à Paris tout auréolé de son premier grand succès littéraire avec « L’étranger ». Pour Camus, être accepté dans le cercle d’amis du couple Sartre- Beauvoir est une forme de reconnaissance même si déjà l’on sent chez lui, du point de vue idéologique, une certaine liberté par rapport à l’orthodoxie existentialiste de Sartre.

La mésentente apparait vers 1947 au sujet de l’attitude à adopter à l’encontre du régime bolchevik en URSS : Camus pense qu’on doit condamner les goulags avec la même intensité que l’on a dénoncé les camps de concentration nazis tandis que Sartre prend parti pour l’Union Soviétique afin de ne pas nuire à la gauche française et reproche à Camus ses objections « sacrilèges »

La rupture va suivre. Camus écrit à Sartre une lettre de 20 pages dans laquelle il dit qu’il n’a pas envie de se laisser dicter ce qu’il doit penser par des intellectuels qui défendent certaines idées révolutionnaires tout en vivant dans le velours. Selon lui, toutes les formes d’injustices doivent être dénoncées sans considérations de politique politicienne. La réponse de Sartre est assassine et met en doute les compétences philosophiques de Camus quand il refuse de faire la différence entre les oppresseurs et les opprimés et qu’il empêche ainsi la possibilité de penser une révolution qui permette la libération des peuples. Cela engendrera une blessure profonde chez Camus.

La rupture est consommée et Camus se désolidarise de la mouvance existentialiste réunie autour de Sartre en réaffirmant ce qui restera l’essentiel de sa philosophie : « Nous portons en nous nos bagnes, nos crimes, nos saccages et notre tâche n’est pas de les déchaîner à travers le monde mais de les combattre partout dans le monde et d’abord en nous-mêmes ». Camus sera d’ailleurs à l’origine de la création d’un journal qu’il appellera justement : « Combat »)

A court terme, à l’époque, c’est Sartre qui gagne cette bataille d’idées et nombre d’intellectuels français, influencés par sa pensée, soutiendront encore longtemps le régime soviétique et tous ceux qui vont s’en inspirer. Camus sera accusé d’être «  naïf », «   traître à la gauche » ; il sera vilipendé par nombre des affidés de Sartre : il n’aurait pas suffisamment lu les auteurs de base (Hegel et… Sartre lui-même !) ; il serait  « un piètre penseur », un «  raconteur de paraboles » ; son ouvrage « L’homme révolté » ne serait qu’  « un bréviaire de philosophie édifiante sans autre unité que le vague à l’âme égotiste qui sied aux adolescents d’hypokagne et qui assure à tous coups une réputation de belle âme ». Sa révolte ne serait qu’ « une petite révolte édulcorée ».

Pourtant, aujourd’hui, avec le recul de l’Histoire, on réalise à quel point le dogmatisme et l’aveuglement de Sartre et de ses disciples ont pu tromper durablement toute une intelligentsia française face aux horreurs du stalinisme et de ses succédanés ( Pol pot, Mao Tsé Toung, etc…). C’est bien Camus qui, semble-t-il, avait raison et ce n’est que justice si sa pensée humaniste et non-violente semble revenir au goût du jour.  B.APPEL

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Nos adhérents ont édité… Françoise TARRADE

André LEO, une femme entre deux luttes, socialisme et féminisme                                                                                                                                        Françoise TARRADE     (biographie romancée)

Romancière, nouvelliste,essayiste, femme de presse André LEO (1824-1900) fut marginalisée de son vivant et ne fut découverte qu’à partir des années 1970-1980. née à Lusignan dans la Vienne, formant son om de plume par l’association des prénoms de ses deux fils, léodile Béra a tout d’abord adhéré aux idées nouvelles prônées par pierre Leroux, ancien saint-simonien qui contribua aux origines du socialisme républicain. dans une France monarchiste, catholique et bourgeoise, elle connaît la double proscription qui touche alors les représentants des mouvances socialisantes et les femmes écrivaines et militantes peu reconnues, sinon négligées, dans leur propre “parti” politique.                                                                                                                   Elle rencontre un succès appréciable durant le Second Empire avec des romans de mœurs dont les thèmes portent sur les relations entre hommes et femmes et interrogent les codes et conventions assujettissant les secondes. Elle participe à la remise en cause de l’enseignement dominant monopolisé alors par l’église. Elle préconise une éducation laïque des enfants et son égalité entre filles et garçons, et considère la formation des jeunes générations comme le ferment et la condition d’une émancipation socio-politique. Ayant côtoyé les premières tendances féministes et participé à la Commune de Paris, elle a connu de longs exils, en Suisse puis en Italie. Amie du géographe libertaire Elisée Reclus, elle partagea longtemps la vie du militant internationaliste Benoît Malon, avec qui elle contracta un “mariage civique” (sans mairie ni église).

André LEO, une femme entre deux luttes, socialisme et féminisme                                                                                                                                        Françoise TARRADE     (biographie romancée)                                                                       258 pages / 24€99  – Hachette distribution –                                                                     

Se le procurer: en librairie ou sur le site www.ressouvenances.fr                         

Par correspondance: 3, rue de la cidrerie 02600 COEUVRES          ressouvenances@sfr.fr

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Une bien belle vidéo retraçant la cérémonie de la remise des prix du concours le samedi 10 octobre 2020

C’est dans les grands salons de l’hôtel de ville de Metz qu’a pu se dérouler, le samedi 10 octobre 2020, une agréable cérémonie de la remise des prix du concours d’écriture de l’APAC, dans les deux catégories Poésie” et “Nouvelle”.                                                         Monsieur François GROSDIDIER, Maire de Metz, était représenté par Monsieur Patrick THIL, adjoint à la culture.

Merci au nombreux public présent malgré ces temps de pandémie bien maussades, et merci particulièrement aux membres des jurys, aux poètes et novellistes sans qui ce concours ne pourraient exister, aux adhérents fidèles ayant prêté leur voix à la lecture des textes des trois premiers prix de chaque catégorie… et à Madame Nicole METIVIER, reponsable de la lourde organisation de ce concours pour laquelle elle a donné bien de son temps sans compter…

Remerciements enfin particulier à Jacques METIVIER qui a mis au service de l’association tous ses talents de “cinéaste” afin de nous permettre de vous offrir à voir cette cérémonie!

Le prochain concours aura lieu en 2022.  G.K.

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Nos adhérents ont édité! Jean-Louis BEREIL

Jean-Louis BEREIL                                                                                                                      Atmosphères et sentiments

Les poèmes réunis dans ce dernier recueil sont le fruit de la passion dédiée par jean-Louis BEREIL à la poésie. Depuis son adolescence, ce fervent défenseur de la forme classique et néoclassique fait entendre une voix unique.                                                                                           Sonnet, alexandrin, acrostiche, rimes riches, son respect des règles stylistiques est une ode à la beauté de la langue                                                                                            Cet ouvrage résulte d’une sélection de poèmes triés, revus et complétés, choisis parmi tous ceux écrits depuis les 16 ans par l’auteur.

Jean-Louis BEREIL                                                           Atmosphères et sentiments                                          247 pages /19€50                                                                       bereiljeanlouis@gmail.com

 

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Joyeuse et très festive cérémonie de la remise des prix du concours d’écriture de l’APAC à Metz, le samedi 10 octobre 2020!

C’est en présence de Monsieur Patrick THIL, adjoint à la culture, que nous avons sincèrement eu le plaisir et l’honneur de compter parmi nous pour représenter Monsieur François GROSDIDIER, Maire de Metz, que, le samedi 10 octobre 2020, a pu s’organiser la cérémonie de remise des prix du concours 2020 d’écriture dans les catégories “nouvelle” et “poésie” de l’APAC.

Monsieur Patrick THIL, adjoint à la culture, représentant Monsieur François GROSDIDIER, maire de Metz

Geneviève KORMANN, Présidente de l’APAC, a remercié pour leur présence le public, les jurés ayant, avec tant d’enthousiasme , donné de leur temps pour assurer le bon fonctionnement de ce concours, les auteurs ayant donné de leur plume, tant en poésie  qu’en nouvelle, par leur participation … sans oublier Nicole METIVIER, responsable du concours cette année pour lequel elle a abattu un travail très conséquent.

Malgré cette crise sanitaire empêchant tant de manifestations culturelles, et rendant chaque jour tout projet de rassemblement aléatoire, ce fut un réel plaisir de voir cet évènement prévu de longue date rassembler les cinquante personnes ayant répondu “présent”!

La marque essentielle du concours d’écriture de l’APAC, au-delà du thème libre laissé aux auteurs, reste le cadeau fait aux deux lauréats de chaque catégorie d’une impression d’un recueil de leurs textes en 100 exemplaires pour les premiers prix, 50 exemplaires pour les deuxièmes prix.

Ce sont les 10 premiers de chaque catégorie que nous avons mis à l’honneur, mais que tous les autres candidats ne prennent jamais ombrage de ne pas faire partie de ce palmarès… Tout concours hélas est tributaire d’un classement qui n’a pas lieu de remettre en cause la qualité d’écriture des uns ou des autres dont nous espérons toujours que le plaisir d’écrire ne les lâche surtout pas…

Christian BOBIN  a dit que « Ce n’est pas pour devenir écrivain qu’on écrit. C’est pour rejoindre en silence cet amour qui manque à tout amour. »

Mais aussi que « L’écriture c’est un ange. Un sourire qui cherche la sortie. »

Geneviève KORMANN a  laissé le public méditer ces deux paroles d’écrivain… en faisant le vœu  que le seul plaisir d’écrire soit toujours pour chacun l’ange guidant ses pensées, ses émotions, ses colères peut-être… et que sans fin il se laisse porter!                                                                                                Le micro fut alors donné à  Monsieur  Patrick THIL qui a su ravir 

Madame Nicole METIVIER, responsable du concours 2020 et Geneviève KORMANN

l’assemblée de son talent d’orateur porteur toujours de propos passionnants… puis à Nicole METIVIER dont la parole, en sa qualité de responsable du concours, a permis que soit officiellement lancé le palmarès.

Pour trente convives, c’est au restaurant “Chez la marie” que s’est prolongée la soirée, dans le respect parfait des règles sanitaires. Le copieux buffet a su ravir les papilles et la chaleureuse ambiance préparer les uns et les autres à une nuit et un repos bien mérités après les émotions de la journée!

 

      CATEGORIE  POESIE                                                                                                                                                           CATEGORIE NOUVELLE

1er Prix: Claude AMMAN                                                      1er Prix: Marie-Claire MELCHIOR  2e Prix:   Pascal LECORDIER                                               2e Prix: Virginie JOTZ                        3e Prix: Christian LABORDE                                                3e Prix: Christian PIOCHE                4e Prix: Annie HULLET-BRIERE                                        4e Prix: Anne-Marie PARENT          5e Prix: Philippe BOURGOIS                                                5e Prix: Anne-Laure TERTOIS         6e Prix: Yves ROUSSEAU                                                      6e Prix: Luc BIBAUT                           7e Prix: Jean-Pierre MICHEL                                               7e Prix: Philippe BOURGOIS            8e Prix: Marie-Alberte CHANAY                                          8e Prix: Michael  ADAM                    9e Prix: Françoise LEGRAND                                               9e Prix: Melissa MALOYER               10e Prix: Francine GUCKERT                                               10e Prix: Laurent MERCIER

Claude AMMANN, 1er Prix poésie

Claude AMMANN, 1er Prix poésie, reçoit des mains de Monsieur Patrick THIL son prix

Anne-Marie PARENT, 4e Prix nouvelle

Marie-Alberte CHANAY, 8e Prix poésie

Virginie JOTZ, 2e Prix nouvelle

Francine GUCKERT, 10e Prix poésie et Geneviève KORMANN

Laurent MERCIER, 10e Prix nouvelle

Laurent MERCIER, 10e Prix nouvelle reçoit son prix de Monsieur Patrick THIL

Luc BIBAUT, 6e Prix nouvelle

Melissa MALOYER, 9e Prix nouvelle

Anne-Laure TERTOIS, 5e Prix nouvelle

Prolongement en soirée au restaurant “Chez la Marie”

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Nos adhérents on édité! Jean-Louis BEREIL

D’amour et de colère                                                                                                            Jean-Louis BEREIL

Fruit d’une observation poétique d’évènements vécus et ressentis par le poète au cours de son existence… De la légèreté d’une aurore à une vision plus obscure sur le monde, Jean-Louis BEREIL délivre, dans ce recueil, le florilège des sensations d’une vie.                         Les vers, imprégnés d’humanisme et de sincérité, sont dédiés aux proches, aux inspirateurs, mais aussi aux victimes silencieuses ou oubliées.

D’amour et de colère                                                             Jean-Louis BEREIL                                                                          101 pages / 12€90                                                                                       bereiljeanlouis@gmail.com

 

Dans un sens comme dans l’autre                                                                                          Jean-Louis BEREIL      

Les poèmes de Jean-Louis BEREIL nous transportent dans divers univers, tantôt descriptifs, sentimentaux, parfois humoristiques, mais plus fréquemment dans celui de l’humanisme qu’il affectionne particulièrement. La place de l’homme dans l’univers, la vulnérabilité de ses sentiments, ses envies et ses travers sont autant de sujets traités, sans que les conclusions moralistes, qui s’en dégagent parfois en filigrane, ne viennent torturer notre conscience.

Dans un sens comme dans l’autre                                     Jean-Louis BEREIL                                                              102 pages / 14€                                                                                 bereiljeanlouis@gmail.com

 

L’évanescent miroir                                                     Jean-Louis BEREIL

Se dégagent de ce recueil de Jean-Louis BEREIL un humanisme profond, l’amour de son pays, un regard assidu, voire exigeant, sur notre société, et toujours une affection profonde et sincère pour ses proches… mais aussi de la fantaisie, de la nostalgie et de l’humour se reflétant dans plusieurs de ses poèmes, comme dans son étonnante et originale “Saga du miroir”.

L’évanescent  miroir                                                        Jean-Louis BEREIL                                                                   102 pages / 15€                                                                                bereiljeanlouis@gmail.com

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Nos adhérents ont édité! Nicole METIVIER

Ma plume vagabonde                                                                                                                   Nicole METIVIER

Les mots ne sont-ils pas:

  • le reflet de notre âme au miroir de l’instant
  • la musique du cœur au registre des jours
  • l’écho des émotions au creuset de la vie
  • une histoire associée au parcours de son âge
  • une fenêtre ouverte pour respirer le monde et peser son empreinte sur le livre du temps?

C’est un arrêt sur ces instants qui construisent une vie, une pause dans le temps pour ne rien oublier, que nous offre, par ce recueil, Nicole METIVIER… mais toujours avancer.

Ma plume vagabonde                                                   Nicole METIVIER                                                                91 pages / 12€50                              nicole.metivier54@gmail.com

 

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