VENT DU LARGE
Semblable au vent du Nord en quête de chaleur,
Ma raison s’envolait au bord de cette plage,
Sans voir au firmament l’énorme et gris voilage
Qui ombrageait l’azur de mon regard en pleur.
Mon cœur à l’horizon, brisé par la douleur,
Cherchait à naviguer vers ta bouche volage
Croyant y retrouver le miel qui le soulage,
Peu avant de sombrer dans cette eau sans couleur.
Pour tes yeux bleus, la mer, n’était plus le symbole.
Son clapotis lointain, n’était plus ta parole,
Ni tes cheveux dorés, ce sable aux alentours.
Quelques jours ont suffi pour oublier tes charmes.
Avec cet aquilon s’envolent tes atours.
Il assoupit mon corps… et sèche enfin mes larmes.
Flirt d’adolescent… et d’un espoir déçu, sur une plage des Landes.
Jean-Louis BEREIL
Bonsoir Madame Kormann,
Bravo et merci pour votre travail consistant à mettre en valeur, à la fois la poésie et ses
auteurs. Si vous le souhaitez vers, ou après la Noël, je vous enverrai un poème sur ce sujet.
Je n’ai pas pu venir chez Hisler-Even samedi dernier, car j’ai dû accueillir un camarade de promotion à la gare à 16h30, le transporter à Woippy pour louer un véhicule et le guider jusqu’au Mess avant qu’il ne reparte le lendemain pour Verdun.
Bien cordialement et bonnes fêtes de fin d’année.